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Dayak costume - Tarakan, Kalimantan Utara, Indonesia, October 2022

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La banque d’images collaborative de l’ICOMOS (BICI) s’inscrit dans le mouvement Open Access qui promeut l’accès libre et illimité à la production scientifique, tout en défendant les droits des auteurs sur leurs œuvres photographiques. Ce mouvement reconnaît que les auteurs détiennent les droits de leurs œuvres et qu’il leur revient par conséquent de décider de la façon dont celles-ci doivent être disséminées et utilisées.
La banque d’images collaborative de l’ICOMOS respecte le droit d’auteur. Toutes les œuvres déposées demeurent la propriété de leurs auteurs, sauf cession de droits non-exclusive à l’ICOMOS.

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  • Accorde à la banque d’images collaborative de l’ICOMOS le droit de les stocker et de les rendre accessibles au public de façon permanente en ligne.
  • Déclare que l’œuvre déposé est sa propriété intellectuelle ou celle d’une personne l’ayant officiellement autorisée à en faire usage.
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Cas des œuvres déposées par leur auteur
La banque d’images collaborative de l’ICOMOS (BICI) est un auto-archivage. ICOMOS n'est pas responsable de l'exactitude des informations fournies dans les documents déposés. Les opinions exprimées et les données associées aux documents déposés, ainsi que leurs métadonnées associées, n’engagent l'ICOMOS en aucune façon et relèvent de la seule responsabilité de leurs auteurs. Les documents déposés ne sont pas automatiquement approuvés par l'ICOMOS. ICOMOS respecte le droit d'auteur et tous les documents déposés dans la banque d’images collaborative de l’ICOMOS restent la propriété de leurs auteurs, sauf cession non-exclusive des droits à l’ICOMOS. Lorsque les auteurs auto-archivent leurs documents et les métadonnées associées, ils déclarent posséder la propriété intellectuelle du matériel qu'ils déposent. Ils accordent à l'ICOMOS le droit de le conserver dans la BICI et de le rendre accessible en ligne au public de façon permanente et gratuite. ICOMOS n'assume aucune responsabilité en cas de violation du droit d'auteur dans la distribution des documents ou des métadonnées.

Cas des œuvres déposées par une personne autre que leur auteur
En déposant des documents et métadonnées associées qui ne sont pas son propre travail, la personne déclare qu’elle a été nommée par l’auteur ou le détenteur du droit d’auteur pour réaliser le dépôt dans la BICI ou que le matériel est dans le domaine public, et accepte la pleine responsabilité de toute violation du droit d’auteur que la distribution de ces fichiers ou des métadonnées pourrait entraîner.

Creative Commons
Creative Commons est une organisation à but non lucratif dont l'objectif principal est d'établir un équilibre entre les droits des auteurs, des industries culturelles et l'accès du grand public à la culture. Creative Commons « fournit des licences gratuites et d'autres outils légaux afin de conférer à l’œuvre de création » le degré de gratuité que son créateur souhaite lui attribuer, afin que d'autres puissent partager son contenu, le remixer, l’utiliser de façon commerciale, ou toute combinaison de ces usages. C'est une première tentative pour fournir un cadre juridique valable dans le cadre de l'Archive ouverte.

Au moment de télécharger leurs photographies dans la banque d’images collaborative de l’ICOMOS, les auteurs qui détiennent les droits sur leurs œuvres sont invités à choisir l'une des six licences suivantes disponibles chez Creative Commons pour publier leurs œuvres :
• Paternité
• Paternité - partage des conditions initiales à l’identique
• Paternité - pas de modification
• Paternité - pas d’utilisation commerciale
• Paternité - pas d’utilisation commerciale – partage des conditions initiales à l’identique
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Dayak dance costume - Tarakan, North Kalimantan (Kalimantan Utara).

Indonésie
Tarakan, Kalimantan Utara
01 octobre, 2022
Jaya Kelana
Image
1996

Javanese art and culture dialogue in the village - Indonesia, 2019

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THR or People's Entertainment Park is a historic location in Surabaya since the Dutch era which was formerly called Jaar Markt, which means the night market. In its development after independence in the night market there was a theater, and the tradition for traditional performance buildings was the existence of ‘tobong’ as an artist settlement. The location of THR has until now been sustainably preserved by the ‘tobong’ tradition to the surrounding of the theater building, where artists lived. It was at the THR location that the career of national artists grew, including comedians Asmuni, Tarzan, Mamiek, Tessy and others.

The THR location by the Surabaya city government was called the THR Art Village (Kampung Seni THR), at that location there was a UPTD (the implementing part under the goverment) that took care of THR Art Village, for decades artists had grown up in the form of ‘tobong’ around the traditional performance buildings like Ludruk, Ketoprak, Wayang Orang (Puppet People) and Srimulat. The dynamics of life occur, there are those who have made product sales stands until artists need to pay retribution, as well as the presence of electricity, artists also pay for electricity, but since January 2019 artists are prohibited from paying for electricity. The water in the settlement is obtained from the wellbore. For decades inhabiting, until then gave birth to children who later studied with artists in the village of art and now has become a professional artist specialized in traditional performances that are sold well rented by clients both residents of Surabaya and outside the city.

In the Art Village, there is a rare art education, almost nothing in other places. Art education in the family and village environment. The art education from the process of their children took part in watching the performances of their parents and older siblings, then when they wanted to take part in an easy role for the children. Until then this role continued and was upgraded to become increasingly difficult, until finally becoming a traditional artist with high proficiency. The mastery was from theatrical arts, fine Javanese language for ketoprak and wayang orang performances, tembang arts, traditional dance and gamelan arts (Javanese traditional music).

This rare art education is threatened to be displaced by the Surabaya City Government Project. Currently in a condition that is depressed because of facing the third subpoena from the Surabaya District Prosecutor's Office until June 30, 2019 tomorrow must leave THR Art Village. What is the project plan for what designation, the shape, the layout, how it is not clear, whether it is informed to the citizens of Surabaya or the residents of the THR Art Village. There is a discourse for artists who have ID card oh the city of Surabaya to be given a place in a flat, but which haunts them when they have to rent, which is not necessarily able to be fulfilled by traditional artists. The discourse also for artists who have ID cards outside the city of Surabaya is not permitted to reside in Surabaya, whether or not their traditional art skills are good or not. It did not matter for decades what they had contributed to the citizens of Surabaya, especially in preserving traditional Javanese arts and culture.

Children of artists who usually gather in the village, practice dancing twice a week, young people gather and chat while practicing traditional comedy treasures, songs, performances and others become threatened to be scattered, some live in flats and there are who was told to go back to his village. Arts education in a good village environment is threatened to elimination. The tradition of ‘tobong’ is lost, traditional artistic processes do not take place in traditional education. Directed to another place that does not necessarily produce success, compared to when these artists survive naturally develop traditional arts and culture. Not all Surabaya city government projects are successful, there are several street vendors and parks that are less successful. It is feared that if the THR village revitalization project will also not succeed, then the development of traditional arts and culture in Surabaya will be even less qualified and increasingly shunned by the younger generation until it will become extinct.

Developing art and traditional culture is actually easy. Let artists develop naturally. The role of the government is enough to provide a large audience for these artists, so here and traditional culture will sustain itself. There is no need for the government to spend a lot of money on development projects, enough to improve THR Art Village. The budget can be used to establish regional regulations in accordance with national regulations regarding the preservation of local culture. For example by requiring schools to watch art shows regularly to learn fine Javanese language, learn traditional legends, understand the treasury of traditional dances and others. With good harmony and dialogue between the government, citizens and art actors, hopefully art and culture will remain sustainable in the city of Surabaya.

Indonésie
surabaya
27 juin, 2019
Tjahja Tribinuka
Image
4562

Javanese art and culture dialogue in the village - Indonesia, 2019

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THR or People's Entertainment Park is a historic location in Surabaya since the Dutch era which was formerly called Jaar Markt, which means the night market. In its development after independence in the night market there was a theater, and the tradition for traditional performance buildings was the existence of ‘tobong’ as an artist settlement. The location of THR has until now been sustainably preserved by the ‘tobong’ tradition to the surrounding of the theater building, where artists lived. It was at the THR location that the career of national artists grew, including comedians Asmuni, Tarzan, Mamiek, Tessy and others.

The THR location by the Surabaya city government was called the THR Art Village (Kampung Seni THR), at that location there was a UPTD (the implementing part under the goverment) that took care of THR Art Village, for decades artists had grown up in the form of ‘tobong’ around the traditional performance buildings like Ludruk, Ketoprak, Wayang Orang (Puppet People) and Srimulat. The dynamics of life occur, there are those who have made product sales stands until artists need to pay retribution, as well as the presence of electricity, artists also pay for electricity, but since January 2019 artists are prohibited from paying for electricity. The water in the settlement is obtained from the wellbore. For decades inhabiting, until then gave birth to children who later studied with artists in the village of art and now has become a professional artist specialized in traditional performances that are sold well rented by clients both residents of Surabaya and outside the city.

In the Art Village, there is a rare art education, almost nothing in other places. Art education in the family and village environment. The art education from the process of their children took part in watching the performances of their parents and older siblings, then when they wanted to take part in an easy role for the children. Until then this role continued and was upgraded to become increasingly difficult, until finally becoming a traditional artist with high proficiency. The mastery was from theatrical arts, fine Javanese language for ketoprak and wayang orang performances, tembang arts, traditional dance and gamelan arts (Javanese traditional music).

This rare art education is threatened to be displaced by the Surabaya City Government Project. Currently in a condition that is depressed because of facing the third subpoena from the Surabaya District Prosecutor's Office until June 30, 2019 tomorrow must leave THR Art Village. What is the project plan for what designation, the shape, the layout, how it is not clear, whether it is informed to the citizens of Surabaya or the residents of the THR Art Village. There is a discourse for artists who have ID card oh the city of Surabaya to be given a place in a flat, but which haunts them when they have to rent, which is not necessarily able to be fulfilled by traditional artists. The discourse also for artists who have ID cards outside the city of Surabaya is not permitted to reside in Surabaya, whether or not their traditional art skills are good or not. It did not matter for decades what they had contributed to the citizens of Surabaya, especially in preserving traditional Javanese arts and culture.

Children of artists who usually gather in the village, practice dancing twice a week, young people gather and chat while practicing traditional comedy treasures, songs, performances and others become threatened to be scattered, some live in flats and there are who was told to go back to his village. Arts education in a good village environment is threatened to elimination. The tradition of ‘tobong’ is lost, traditional artistic processes do not take place in traditional education. Directed to another place that does not necessarily produce success, compared to when these artists survive naturally develop traditional arts and culture. Not all Surabaya city government projects are successful, there are several street vendors and parks that are less successful. It is feared that if the THR village revitalization project will also not succeed, then the development of traditional arts and culture in Surabaya will be even less qualified and increasingly shunned by the younger generation until it will become extinct.

Developing art and traditional culture is actually easy. Let artists develop naturally. The role of the government is enough to provide a large audience for these artists, so here and traditional culture will sustain itself. There is no need for the government to spend a lot of money on development projects, enough to improve THR Art Village. The budget can be used to establish regional regulations in accordance with national regulations regarding the preservation of local culture. For example by requiring schools to watch art shows regularly to learn fine Javanese language, learn traditional legends, understand the treasury of traditional dances and others. With good harmony and dialogue between the government, citizens and art actors, hopefully art and culture will remain sustainable in the city of Surabaya.

Indonésie
Surabaya
27 juin, 2019
Tjahja Tribinuka
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Javanese dance practice - Indonesia, 2019

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  • Comprend que l’Archive ouverte de l’ICOMOS n’est pas responsable de toute violation du droit d’auteur entraînée par la diffusion des documents ou des métadonnées.

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The THR location by the Surabaya city government was called the THR Art Village (Kampung Seni THR), at that location there was a UPTD (the implementing part under the goverment) that took care of THR Art Village, for decades artists had grown up in the form of ‘tobong’ around the traditional performance buildings like Ludruk, Ketoprak, Wayang Orang (Puppet People) and Srimulat. The dynamics of life occur, there are those who have made product sales stands until artists need to pay retribution, as well as the presence of electricity, artists also pay for electricity, but since January 2019 artists are prohibited from paying for electricity. The water in the settlement is obtained from the wellbore. For decades inhabiting, until then gave birth to children who later studied with artists in the village of art and now has become a professional artist specialized in traditional performances that are sold well rented by clients both residents of Surabaya and outside the city.

In the Art Village, there is a rare art education, almost nothing in other places. Art education in the family and village environment. The art education from the process of their children took part in watching the performances of their parents and older siblings, then when they wanted to take part in an easy role for the children. Until then this role continued and was upgraded to become increasingly difficult, until finally becoming a traditional artist with high proficiency. The mastery was from theatrical arts, fine Javanese language for ketoprak and wayang orang performances, tembang arts, traditional dance and gamelan arts (Javanese traditional music).

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Indonésie
Surabaya
27 juin, 2019
Tjahja Tribinuka
Image
5404

Shrines and Temples of Nikko, Japan - 2015

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La banque d’images collaborative de l’ICOMOS respecte le droit d’auteur. Toutes les œuvres déposées demeurent la propriété de leurs auteurs, sauf cession de droits non-exclusive à l’ICOMOS.

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L’ICOMOS n'assume aucune responsabilité en cas de violation du droit d'auteur dans la distribution des documents ou des métadonnées.


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Avant de déposer une image ou un lot d’images, les auteurs doivent s’assurer qu’ils en détiennent bien le copyright ou qu’ils sont bien autorisés à effectuer ce chargement dans la banque d’images collaborative de l’ICOMOS, qu’il n’existe notamment pas de restriction sur la diffusion électronique du document.

Lorsqu’il dépose un fichier et les métadonnées (description et informations) associées, l’auteur :

  • Accorde à la banque d’images collaborative de l’ICOMOS le droit de les stocker et de les rendre accessibles au public de façon permanente en ligne.
  • Déclare que l’œuvre déposé est sa propriété intellectuelle ou celle d’une personne l’ayant officiellement autorisée à en faire usage.
  • Comprend que l’Archive ouverte de l’ICOMOS n’est pas responsable de toute violation du droit d’auteur entraînée par la diffusion des documents ou des métadonnées.

Cas des œuvres déposées par leur auteur
La banque d’images collaborative de l’ICOMOS (BICI) est un auto-archivage. ICOMOS n'est pas responsable de l'exactitude des informations fournies dans les documents déposés. Les opinions exprimées et les données associées aux documents déposés, ainsi que leurs métadonnées associées, n’engagent l'ICOMOS en aucune façon et relèvent de la seule responsabilité de leurs auteurs. Les documents déposés ne sont pas automatiquement approuvés par l'ICOMOS. ICOMOS respecte le droit d'auteur et tous les documents déposés dans la banque d’images collaborative de l’ICOMOS restent la propriété de leurs auteurs, sauf cession non-exclusive des droits à l’ICOMOS. Lorsque les auteurs auto-archivent leurs documents et les métadonnées associées, ils déclarent posséder la propriété intellectuelle du matériel qu'ils déposent. Ils accordent à l'ICOMOS le droit de le conserver dans la BICI et de le rendre accessible en ligne au public de façon permanente et gratuite. ICOMOS n'assume aucune responsabilité en cas de violation du droit d'auteur dans la distribution des documents ou des métadonnées.

Cas des œuvres déposées par une personne autre que leur auteur
En déposant des documents et métadonnées associées qui ne sont pas son propre travail, la personne déclare qu’elle a été nommée par l’auteur ou le détenteur du droit d’auteur pour réaliser le dépôt dans la BICI ou que le matériel est dans le domaine public, et accepte la pleine responsabilité de toute violation du droit d’auteur que la distribution de ces fichiers ou des métadonnées pourrait entraîner.

Creative Commons
Creative Commons est une organisation à but non lucratif dont l'objectif principal est d'établir un équilibre entre les droits des auteurs, des industries culturelles et l'accès du grand public à la culture. Creative Commons « fournit des licences gratuites et d'autres outils légaux afin de conférer à l’œuvre de création » le degré de gratuité que son créateur souhaite lui attribuer, afin que d'autres puissent partager son contenu, le remixer, l’utiliser de façon commerciale, ou toute combinaison de ces usages. C'est une première tentative pour fournir un cadre juridique valable dans le cadre de l'Archive ouverte.

Au moment de télécharger leurs photographies dans la banque d’images collaborative de l’ICOMOS, les auteurs qui détiennent les droits sur leurs œuvres sont invités à choisir l'une des six licences suivantes disponibles chez Creative Commons pour publier leurs œuvres :
• Paternité
• Paternité - partage des conditions initiales à l’identique
• Paternité - pas de modification
• Paternité - pas d’utilisation commerciale
• Paternité - pas d’utilisation commerciale – partage des conditions initiales à l’identique
• Paternité - pas d’utilisation commerciale, pas de modification

Pour plus d’information sur les licences Creative Commons, cliquer sur : http://creativecommons.fr/licences/

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Meoto Iwa (夫婦岩), or the Married Couple Rocks, are a couple of small rocky stacks in the sea off Futami, Mie, Japan. 

They are joined by a shimenawa (a heavy rope of rice straw) and are considered sacred by worshippers at the neighboring Futami Okitama Shrine (Futami Okitama Jinja (二見興玉神社)). According to Shinto, the rocks represent the union of the main creators of kami (gods), Izanagi and Izanami. The rocks, therefore, celebrate the union in marriage of man and woman. The rope, which weighs over a ton, must be replaced several times a year in a special ceremony. The larger rock, said to be male, has a small torii (gate) at its peak.

The best time to see the rocks is at dawn during the summer, when the sun appears to rise between them. Mount Fuji is visible in the distance. At low tide, the rocks are not separated by water.

[source: https://en.wikipedia.org/wiki/Meoto_Iwa]

Japon
Ise city
02 mars, 2015
Herrero Victoria
Image
5330

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